Adria ■■ On a tous eu envie de partir. Et de ne jamais revenir.

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Adria Leah-Nola Meven-Olsen

I was a little girl, alone in my little world.

nom : Meven-Olsen. prénom : Adria Leah-Nola. date et lieu de naissance : 15/06 à Bluebell. âge : 22 ans. nationalité : américaine. origines : américaines. statut civil : se considère veuve. métier/études : présentatrice télévisée. traits de caractère : ambitieuse, têtue, jalouse, rancunière, intelligente, amicale, dépressive. groupe : Les Belles.

we were born to die.
Manger. Incapable de résister à la nourriture, elle mange sans arrêt, que ce soit des Dragibus à peine sortie du petit déjeuner au kebab du milieu d’après-midi, elle est absolument et irrémédiablement ce qu’on appelle familièrement une dalleuse. Et pourtant, elle ne prend pas un gramme. Mais elle ne serait pas du genre à se lancer dans un régime, elle aime trop manger pour ça (a) ▲ ses cheveux. Elle passe son temps à jouer avec, à les titiller, à enrouler des mèches autour de ses doigts quand elle réfléchit, à les jeter derrière son épaule quand elle est gênée. Elle est très fière de leur couleur, et s’indigne qu’on puisse douter du fait qu’elle soit due à une coloration. Courts ou longs, elle change souvent de coiffure. ▲ les animaux. Elle adore les chats et les chiens et en auraient bien une douzaine de chaque race si ça ne tenait qu’à elle. Elle ne possède cependant qu’un seul chat, Figaro, les gros chiens qu’elle aime tant n’étant guère pratique en appartement et à Paris qui plus est. ▲ les films un peu stupides et enfantins. Elle affectionne tout particulièrement les Disneys et se précipite au cinéma à chaque sortie. ▲ elle a horreur de sa frousse légendaire. Elle ne peut pas regarder un vrai film d’horreur sans passer les huit mois suivants à ne pas dormir, à scruter derrière les portes et derrière elle quand elle est seule. Elle n’aime pas non plus être éveillée et seule dans le noir. ▲ les insectes et les rongeurs. Elle a horreur de ça et est capable de piquer une crise d'hystérie monumentale pour une simple queue de souris entraperçue dans un recoin sombre. ▲ les maths. Elle est fâchée avec elles depuis sa plus tendre enfance et préfère utiliser une calculatrice pour compter 6x4 plutôt que d'y réfléchir, par principe. ▲ les enfants. Attention, elle adore les bébés, il ne faut pas confondre. Mais dépassé cinq ans, elle trouve ça casse-bonbons et tête à claques.

express yourself.
Ma mère poussa un soupir désespéré. « Adria, mon trésor, comment veux-tu que je travaille comme il faut si je sais que tu ne fais que des bêtises ? », me gronda-t-elle. Je grimaçai tandis qu’elle désinfectait ma blessure sur mon poignet gauche avec de l’alcool. « Jessie m’a provoquée », m’indignai-je. « Tu préfèrerais que je me laisse embêter ? », m’offusquai-je. Elle poussa un nouveau soupir en déroulant un morceau de bande. « Bien sûr que non ma chérie, mais cette fille ne te fera pas de mal si tu ne réponds pas à ses provocations. », répondit-elle doucement. Je fis la moue tandis que ma mère enroulait mon poignet avec soin. Cette idiote n’avait qu’à bien se tenir ! J’allais lui faire regretter, moi, d’être aussi bête ! C’est vrai, j’avais tendance à cogner avant de réfléchir. Mon côté masculin avait besoin de s’exprimer, avais-je répliqué un jour. Cette phrase avait fait beaucoup rire ma mère, et je ne voyais absolument pas pourquoi. Je n’étais pas du genre à me faire victimiser, un point c’est tout. Je ne vois pas en quoi une petite blessure de rien du tout peut bien inquiéter maman ! Bon, d’accord, je me suis cassée le bras à trois ans en sautant d’une chaise. Je me suis aussi cassée le nez, il y a deux ans, en tombant dans les escaliers en voulant monter sur la rampe. Mais ça ne veut absolument rien dire ! Je n’étais pas casse-cou. Simplement un peu rapide. Ma mère acheva de nouer la bande à mon poignet et, sitôt libérée, je courrai vers la porte. Ma mère me retint par l’épaule. « Jeune fille, qu’ai-je dis à propos des sorties ? », demanda-t-elle sévèrement. «Isabel ! Accompagne ta sœur, veux-tu ? », poursuivit-elle en haussant le ton. Ma sœur déboucha dans la cuisine, un livre à la main. « D’accord, d’accord…. », soupira-t-elle. Je sorti comme un courant d’air. Je filai ainsi jusqu’à la plage, environ cinq cent mètres plus loin. Maman avait investi une partie de son argent pour nous fournir une très belle maison avec vue sur l’océan, car lorsqu’elle était malheureuse après le départ de mon père, seule l’immensité bleue parvenait à la tirer de sa torpeur. Hormis moi et ma grande sœur, évidemment. Je plissai les yeux pour habituer mes yeux à la luminosité solaire. La plage était recouverte de centaines de personnes venues prendre l’air en ce week-end. En maugréant, je cherchais du regard le plan de la baie de Sydney. En temps normal, je le repérais toujours très vite. Mais il y a avait tellement de monde que je ne le voyais même plus. Je finis par le repérer et tentai de m’y frayer un passage. « Kayden ! », appelai-je gaiement. Le jeune garçon brun aux yeux gris qui était tranquillement assis contre le poteau dudit plan tourna la tête. « Adria ! », sourit-il. Il regarda derrière moi, inquiet. « T’as sœur n’est pas là ? », demanda-t-il. Je fis la moue. Ma mère avait interdit que j’aille à la plage toute seule, même avec Kayden, mon ami d’enfance. Elle prétendait que, à huit ans, beaucoup de choses pouvaient arriver. « Heu… Elle doit me suivre, enfin je suppose… », répondis-je. « Je ne la vois pas », fit remarquer Kayden. Nous guettâmes plusieurs minutes derrière nous, mais Isabel ne parut pas. « Oh là là ! Je vais me faire tuer si elle ne nous trouve pas ! », paniquai-je. J’avisai le plan, et une idée me vint. Je grimpai sur la poubelle à côté, et me hissai sur le cran clouté de l’armature de bois. « Tu es tout petit », ris-je en regardant Kayden, deux mètres à en-dessous. « Adria, j’aime pas quand tu fais ça », marmonna-t-il. «Hé ! Je la vois ! Hééééhéééé ! ISAAAAAAA ! », hélai-je fortement. Ma sœur me vit et ne mit plus très longtemps à approcher. « Je vous ai cherché partout ! », s’énerva-t-elle. J’entrepris de descendre de mon perchoir, et sautai gracieusement sur la poubelle… et me retrouvai comme une idiote à avaler des grains de sable. Quel besoin avaient-ils de mettre des couvercles ronds à ces foutus poubelles ?! Je recrachais du sable à grands renforts de protestations indignées, sous les rires de Kayden et les soupirs de ma sœur.

Assise sur le banc, isolée, seule, Adria contemplait le vide, les yeux dans le vague. A quoi pensait-elle ? Toujours à la même chose. Elle y pensait sans cesse. Chaque instant, chaque minute. C’était une blessure, marquée au fer rouge sur son corps, son cœur, ses pensées. Lorsqu’elle se regardait dans la glace, elle la voyait, et c’était comme si les mots étaient gravés sur son visage. Comme si son nom était inscrit sur sa peau. A tout jamais. Elle pensait à lui. Tellement. Parfois, quand elle marchait, elle pensait à ce qu’elle lui dirait en rentrant. S’ils allaient encore se chamailler pour le choix du programme télé. Mais à présent, assise sur le banc, le vent glacial faisant voleter ses cheveux, tout était différent. Tellement différent. Le souvenir de Tyler serait toujours là, en elle. Elle revit en un instant leur dispute, la voiture foncer sur la leur. Elle revit Tyler, assis sur le siège passager, pousser un hurlement de douleur lorsque la voiture le percuta de plein fouet. Elle n’avait été que secouée. Elle se revoyait encore arracher la ceinture de sécurité qui le maintenait à son siège. Elle revoyait encore le sang, partout, sur son visage, sa chemise, son jean, déchiré. Les profondes entailles quand le pare-brise avait explosé, dévorant son visage. Elle aurait voulu l’attirer à elle pour le serrer dans ses bras, l’empêcher de partir. Tyler avait croisé le regard d’Adria. Dans son regard bleu vif qu’elle admirait tant, qu’elle aimait tant, elle avait vu la vie s’échapper du corps de l’amour de sa vie. « Tyler… Tyler je t’en prie… Ils arrivent », avait-elle pleuré. « Adria… », avait-il murmuré dans un souffle. « Je t’interdis de partir T’as pas le droit, me laisse pas ! », avait-elle hurlé. Mais c’était trop tard. Lentement, le corps de Tyler s’était affaissé contre elle et, dans un hurlement déchirant, elle avait serré le corps de son fiancé dans ses bras. Et depuis, elle avait toujours la sensation qu’il était là. Alors qu’il était mort.

pseudo/prénom : Camille, PINGUS. avatar : Ashley Benson. fréquence de connexion : 7j/7. scénario ou inventé : inventé. vos impressions sur le forum : Adria ■■ On a tous eu envie de partir. Et de ne jamais revenir. 1178074345

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Bienvenue à toi Adria ■■ On a tous eu envie de partir. Et de ne jamais revenir. 1951224164

J'ai validé ton code I love you

Une seconde Bensooooon Adria ■■ On a tous eu envie de partir. Et de ne jamais revenir. 1178074345

Sinon comme je l'ai déjà dit, nous laissons encore deux jours à l'autre personne qui c'est inscrite avec Benson.
Si jamais l'avatar sera à toi I love you

GOSH. Benson ! Je suis in love de cette actrice...je l'adore !

Bienvenue sur Suspicious Minds, darling ! Adria ■■ On a tous eu envie de partir. Et de ne jamais revenir. 4170629200