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Leonard Deperfitte
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Leonard Deperfitte

Leonard Deperfitte


- MESSAGES : 32

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MessageSujet: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptySam 30 Mar - 18:23


CRÉDITS DE L'IMAGE - Tumblr.

LEONARD THYBALT DEPERFITTE
If your life sucks, be sure that at least has a great soundtrack.

nom : Deperfitte, a la majorité il a décidé de prendre le nom de sa mère. prénom : Leonard Thybalt. date et lieu de naissance : le 15 novembre 1976 à Saumur âge :37 ans. nationalité : franco-américaine. origines : française. statut civil :en couple. métier/études : homme d'affaire. traits de caractère : possessif, coléreux, brisé, franc, viril, impulsif, gentleman, autoritaire, casse cou, débrouillard, digne de confiance, tenace, amical, intuitif, insaisissable, négociateur entreprenant, parfois taciturne, jaloux, rancunier, impatient, responsable, ordonné et perfectionniste dans sa vie professionnelle . groupe : les nouveaux habitants.


we were born to die.
il fume comme un pompier, il a déjà essayé d'arrêter mais en vain ✣ ex-truand ✣ Il est l'un des 20 hommes les plus riches du continent américain ✣ Quand il est stressé, il se passe nerveusement la main dans les cheveux ✣ vient d'apprendre qu'il est père d'une fillette de quelques mois ✣ est allergique au beurre de cacahuète ✣ n'a jamais eu de relations sérieuses ✣ se faisait battre par son père jusqu'à ses dix-sept ans ✣ ila a eu une enfance difficile, ce pourquoi il est ainsi ✣ perd trop facilement patiente et s'énerve très rapidement ✣ s'est un piètre cuisiner ✣ même s'il porte depuis dix ans des costumes il ne sait toujours pas faire son noeud de cravate et déteste toujours autant en porter ✣ aime boire les alcools forts ✣ fais du sport de combats pour se calmer, sinon il aurait beaucoup trop de blesser dans son entourage ✣ son passe temps du dimanche le tir ✣ sait traire une vache et monter à cheval, vivre à la campagne ça aide ✣ bagarreur, il a le sang chaud et perd rarement un combat lorsqu'il en déclenche un ✣ fais souvent la une des magazines people positivement ou négativement, c'est surtout parce-qu’il en vient facilement aux mains ✣ se fait très vite critiquer négativement pour son caractère d'enfant de la rue mais positivement pour son sens des affaires ✣ trop bon négociateur, il pourrait échanger un grain de riz contre une ferme ✣ très vulgaire mais uniquement en privé ✣ gentleman, seul merlin sait où il a appris ces bonnes manières ce n'est pas dans les rues malfamés ✣ se doute qu'un jour il vas se faire buter ✣ rêvait d'être Iron Man quand il était gosse ✣ parle couramment trois langues: français, anglais et espagnol ✣ fais toujours des excès de vitesses mais tout le monde adore son style de conduite ✣ déteste les gosses, ça hurle tout le temps ✣ a sans doute déjà tuer des hommes mais ça personne ne le sait ✣ sort avec Roxane, jeune fille de dix sept ans plus jeune. ✣ se mordille le pouce lorsqu'il est énerver, tape dans toutes choses inertes en cas d'accès ✣ est un charmeur né ✣ les personnes auxquelles il a confiance se compte sur les doigts d'une main ✣ a de trop nombreuses connaissances, disons qu'il a le bras long ✣ (+) jugé de très bon coup par ses maintes et maintes conquêtes ✣ aime bien faire les courses mais ne les fais jamais ✣ a une très belle écriture ✣ diplômés ✣ prends des cours de self-contrôle, ce n'est pas très concluant ✣ a de grands airs de bad boy ✣ jure souvent en français ✣ mauvais spectateurs des films romantiques ✣ s'est démarrer une voiture sans les clefs ✣ adore des plant thaïlandaise ✣ aime les femmes ✣ s'est fait tatouer plusieurs fois ✣ aime aller au cinéma ✣ ne ferme jamais la porte de la salle de bain lorsqu'il s'y trouve ✣ il attire les gens comme un aimant ✣ n'est pas inscrit sur des réseaux sociaux ✣ a la mauvaise habitude de piquer dans les plats alors que ce n'est pas encore prêt ✣ son talon d'achille : le lobe de l'oreille, le moyen le plus sûr pour le faire craquer, c'est de lui mordiller ✣ se montre parfois taciturne et désobligeant .



express yourself.
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Montsoreau,en 86 « Hier, le petit Leonard s'est fait rosser par son paternel avec force. Juste devant le bar. Accusé d'avoir reluqué les filles. » Le gamin en question est là, bras croisés sur la table en bois, ses doigts se crispent sur le tissus de ses manches. Agacé d’attendre ces vieux commérages de ces mégères qui n’ont même pas remarqué qu’il était assis à la table d’accoté. « Je ne le plains pas, c’est de la mauvaise graine. » il enfonce sa tête dans ses bras pour cacher son visage tuméfié, sa jambe tremble par nervosité. Il a tellement envie de se lever et de leur cracher au visage mais aucun mot ne sort, il a déjà trop reçu pour en subir encore. Alors il est là presque en train de chialer comme un gosse de son âge dans ce café. Il n’a même pas un sous pour se payer un soda, non il est juste assis là pour être loin de chez lui. Tout se sait à la campagne, tout se voit, tout le monde sait que Mr Thouvenel bats son fils, mais aux yeux de tous il le mérite alors personne ne dit rien et laisse penser au ignorants c’est parce qu’il se bat en ville. Toutes les bonnes vieilles personnes peuplant ce village se souvienne quand Mr Thouvenel s’est ramené avec son gamin et sa bonne femme américaine. Ils la trouvaient tous si provocante et la jugeaient déjà de catin. Non, ils n’ont jamais plains le gosse, après tout il était accusé de volé le pain et d’autres babioles. C’était un sale gosse, qui se rebellait, qui vagabondait tard dans les rues et n’écoutait jamais ce qu’on lui disait. « C’est de la mauvaise graines, je vous dis qu’un jour il finira par braquer la vielle boutique de Mr Védère. Sa mère n’aurait jamais dû l’envoyer étudié en ville. » Le gamin se lève capuche sur la tête, les commères le remarque et le salue d’un sourire hypocrite, il les ignore en leur tournant le dos et claquant la porte. « Qu’est-ce que je vous disais, un sale gosse. Pauvre Mr Thouvenel, sa femme à engendrer un monstre. »

Montsoreau,en 92« Tu cherches vraiment le bâton à te faire battre. » il la directement mit à terre par un coup violent à l’estomac, le gamin se tord au sol. Il ne hurle même plus, il sait désormais que ça ne sert à rien. Son paternel le toise du regarde. « Il y a des rumeurs qui court à ton propos. » il s’est baissé à sa hauteur, ses doigts s’agrippe dans sa chevelure pour qu’il relève la tête. « Réponds-moi quand je te parle fiston. » ses yeux se posent dans ceux de son père, il avale sa salive pour trouver la force de répondre. « Lesquelles ? » c’est habituel désormais, son père le bats de plus en plus souvent, frustré par le fait que les affaires marchent mal en ville, que sa femme ne veut plus coucher avec lui. Sa colère s’abat sur son gamin, c’est tellement facile de taper les plus faibles. « Il parait que tu commences à truander en ville ? » Leo ne pipe pas un mot, il réfléchit à une réponse pour ressentir une nouvelle douleur sur son visage. « Passe-moi le blé que tu te fais fiston. » son père se redresse, Leo en profite de cette légère pause pour s’adosser contre le mur. « Tu sais que j’en ai besoin alors donne-le moi. » il attrape son fils par le col pour le remette sur ses pieds. « Tu es faible, les faibles doivent donner au plus fort. » Le poing de son père s’enfonce dans son estomac. « Alors paye. » dit-il en le lâchant et le laissant tombé au sol. Ce n’était qu’un gamin, il ne pouvait rien faire face à son père, encore trop faible. Mais à chaque coup qu’il recevait il s’imaginait déjà lui rendre des années plus tard.

Saumur,en 93 « Qu’est-ce ? » dit cette voix féminine en n’osant touchés les bleus qui ornait les visages du jeune, il sourit alors en haussant les épaules. « Tu dois savoir que je ne suis pas le plus gentil du bahut. » elle sourit à cette remarque. « C’est donc des bleus de ton ancienne défaite ? Dans quel état est l’autre personne. » Il plante ses yeux dans les siens, cette fille de bonne famille le colle depuis quelques jours. Elle est belle, fraiche chercherait elle à avoir de mauvaise relations ? « Dans un bien pire état. » bien qu’il se battait dans l’enceinte du lycée, dans les rues. La plupart de ses bleu étaient déjà présent, malgré du haut de ses dix-sept ans il le battait toujours. Mais Mr Thouvenel n’était plus le seul qui frappait.

- « Pourquoi? » dit-elle accablée, des larmes bordent doucement ses yeux, lui reste avec ce regard celui qu'elle désire tant quand il lui murmure des mots doux ou quand elle va mal, cet air rempli de nombreux sentiments, un si beau regard avec tant de tendresse et d'autres sentiments, à ce moment elle hait ce regard, il la quitte comme ça sans aucune explication, elle qui croyait à leur idylle, il y met fin et il la regarde de cette manière car elle en est terriblement blessée, ses larmes finissent par couler sur ses joues rosées.« S'il te plait. » Il tend une main vers elle qui se recule à cette approche « Me touche pas! » Il soupire, il a toujours pensé qu'elle en faisait trop, aucunement naturelle, bien américaine, le chic anglais lui manque tellement. « Lucie, ne rend pas les choses plus compliquées qu'elles ne le sont, tu ne peux rien y faire. » dit-il avec détachement, ça y est, elle l'a perdu elle sait qu'elle ne peut dire un mot de plus, quand il prend cet air lointain, il n'est plus avec elle, ce n'est pas d'un coup de tête qu'il la quitte car, elle le connait il est parfois impulsif et il peut très bien la quitté d'un coup de tête car ses amis lui ont fait part de certaines rumeurs sur la demoiselle, qui pourtant est tellement amoureuse de lui, qu'elle en devient trop envahissante. « Je ne suis pas assez jolie c'est ça? »Elle essaye de se justifier, elle s'approche de lui, il ne bouge pas cependant, il tourne le regard « Non ce n'est pas ça. » dit-il avec autant d'insensibilité, elle en est terriblement blessée. « Tu ne m'aimes plus ? » l'a t'il déjà aimé? Qu'est-ce-que l'amour au fond? Un attachement profond pour une personne, un pas après l'amitié et un à moitié dans la haine, peut-être qu'il a un certain attachement pour elle, raffinée, bourgeoise et belle, elle a bien tout pour elle. Il soupire, elle prend cela comme s'il ne l'a jamais aimé, elle le gifle, la douleur lui meurtri la joue « Crève, salaud. » vocifère-t-elle, il reste insensible et la regarde s'éloigner, toute ses relations qu'il a eu à côté lui paraisse fade, il doit avoir un problème avec l’amour.

Montsoreau,en 94« Vous avez entendu la rumeur ? Comme quoi le fils Thouvenel s’est barré en mettant le feu à la ferme familial. Ils disent que c’est un accident mais je suis certaine qu’il a fait exprès. » Ses collègues la regarde avec des grands yeux. « J’ai entendu dire que son paternel lui a tellement tapé dessus qu’on aurait pu attendre ses os se briser. » elles affichent toute une grimace en buvant leurs cafés. « Et après ? » demande l’une d’elles trop curieuse de savoir la suite. « Le gamin est partie à l’hospis avec sa mère. Mr Thouvenel lui est au poste, je pense qu’il restera au trou pendant un moment. » Articule la plus malpolie de toute. « AH j’ai entendu dire que Mme Prévôt trompe son mari. » La famille Thouvenel quitter alors ce petit village, elle ne fera plus jamais parler d’elle. Lorsque les personnes demanderont à qui est cette maison à la ferme brulés, les commères leurs raconteront tout en exagérant.

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Saumur,en 95 « Mam’ » elle était là inerte sur le sol, elle lève la main pour le saluer lorsqu’elle voit ses pieds. « Mon chaton. » dit-elle en essayant de se redresser mais en vain, son visage s’écrase sur le sol. Il pose son sac par terre, et l’aide à se relever. « Oh Leo, tu es si vaillant. » dit-elle en rigolant. Il l’amène jusqu’à sa chambre, il lui retire ses chaussures. « Tu devrais arrêter l’alcool. » dit-il en couvrant, le corps inerte de sa mère, d’une couverture. « Je ne peux pas, je suis si faible. Tu sais je le revois sans cesse te tabasser. Je nettoyais ton sang du carrelage. » Il la regarde d’un air attristé et la coupe dans son discours. « Je te pardonne maman, tu le sais. » ses lèvres se posent sur le front en sueur de sa mère qui renifle. « Essaye de dormir. » A cette époque elle était bien la seule femme avec qui il était aussi doux. Il allait en cours, truandait pour se faire du blé, couchant chaque soir sa mère complètement ivre dans le salon, ou parfois échoué devant la porte. Le voisinage commençait déjà à les critiquer, et puis un de ses jours les plus froids de la région, son père avait réapparue. « Je suis désolé fiston. » lui avait-il dit, il disait avoir changé et pourtant il ne manqua pas une occasion pour enfoncer son poing dans la gueule du gamin. Assez grand pour vivre tout seul, il s’est barré, il a fui, il avait déjà trop donné pour recevoir de nouveau. Et qui sait il aurait pu tuer son père de sang-froid, c’était mieux qu’il s’en aille.

États-Unis,en 2000 « Leonard Deperfitte. » il serre la main de la demoiselle et s’assoit en face d’elle, il était méconnaissable, les cheveux coupés, finit les colorations pour cacher sa légère blondeur qu’il avait étant gamin. Beau costume, bien coiffé, il ne ressemblait plus à l’adolescent d’il y a quelques années. C’était un truand sous ses beaux airs d’hommes d’affaires, ses sourires charmeurs, son attitude de gentleman. Cette femme avait tous les droit de le dévorer du regard, de collé légèrement son pied contre son tibia. « Et vous faites quoi ? » dit-elle en se penchant pour dévoiler son décolleté, Leo affiche un léger sourire. « Des trucs. » elle sourit humectant ses lèvres pour se rendre plus sensuelle. « Dangereux ? » il sourit amusé s’enfonçant dans son siège et haussant les épaules. « Vous avec tués des gens ? » Il rit légèrement. « Pas aujourd’hui. » elle se met à rire, ne le prennent alors pas au sérieux. « Vous êtes un homme d’affaires qui a bien de l’imagination. » Il en a eu de relations, jamais sérieuse. Il était ainsi, il convoitait la chair féminine, uniquement cela. Il ne souhaitait pas se réveillé et avoir le même visage devant lui. Il y avait les femmes avec qui il couchait et celles avec qui il bossait, pas celle qui allait partager sa vie.

New-York, en2012 D'un geste brusque, il plaque cette sulfureuse diablesse contre le mur et pose durement sa bouche contre la sienne. Les mains retenu au-dessus de sa tête, la brune ne put laisser échapper qu'un soupir, sans savoir s'il contenait plus de colère que de désir. Bientôt, leur langue dansait ensemble, les jambes de cette brune étaient enroulées autour des hanches de cet homme à la chemise défaite, alors qu'il collait toujours plus son corps contre le sien. « C'est donc ça! Tu as passé une mauvaise journée ? » ses griffes s’enfoncent légèrement sur sa joue, ses lèvres affichent un sourire aguicheur. « Ca ne te regarde pas. » dit-il en collant ses lèvres contre les siennes, cette femme elle apparait souvent devant lui nue, bien qu’elle pense qu’ils soient ensemble. Elle n’est que cette simple femme toujours disponible lorsqu’il le souhaite, elle se ramène comme un cabot lorsqu’il la siffle. Elle n’est rien d’autre qu’une partie de plaisir, un loisir qui lui permet de faire le vide, de ne plus penser à ses mauvaises journées. Maintenant qu’il est riche, tout le monde lui lèches les bottes, s’écrase devant lui. Et tous veut son argent, mais il vient de la rue, tout le monde le sait ça. Ils savent que c’est une personne délicate à manipulé, un mauvais mot et il serait prêt à lancer ses sbires pour régler les choses. Honnête homme d’affaire certes mais il ne faut pas le chercher, il a bien le bras trop long pour que quelqu’un puisse le berner. »Alors tu me raconte ce qui s’est passé ? » Dit-elle alors qu’il fermait sa chemise, ses doigts se glisse dans sa nuque. Il contracte la mâchoire et soupire en attrapant son poignet sans aucune délicatesse. « Je ne te dois aucune réponse, rien. Dégage maintenant. » Il lâche son le poignet de la brune dont les yeux s’humidifient. Elle a pourtant l’habitude qu’il la traite ainsi, elle est l’une des rares femmes avec qui il n’est pas un gentleman. Elle le voit s’éloigné en train d’essayer de faire son nœud de cravate, de ses longues jambes elle le rattrape se met en face de lui. « Laisse-moi faire. » dit-elle en posant ses mains sur les siennes. Leo la regarde, un instant il ressent de la pitié, il la traite vraiment comme sa putain. « Tu n’as jamais été doué pour ça. » dit-elle en essayant de dissimuler sa tristesse. Il soupire, et puisque ce n’est pas uniquement un salaud de première il colle ses lèvres sur les siennes. « Je te rappel quand j’ai besoin de toi. » dit-elle en la contournant après avoir retiré ses mains posées sur ses épaules.

Paris,en 2013« Vous savez Monsieur, avec tout le respect que je vous dois vous n’êtes pas obliger de vous délaisser a Bluebell. » Leo jette un regard méprisant à cet homme en face de lui, il tire une latte sur sa cigarette. « Depuis quand tu me respect ducon ? » il en a assez de fou cul, il a entendu dur bon nombre rumeur sur le cas de cet homme qui prétend être un fidèle. « Monsieur. » il avait confiance en très peu de personnes dans ce milieu. « J’irai, alors tu bouges ton cul pour aller m’acheter ce pu**** de billet d’avion. Si tu ne veux pas annoncer à ta jolie petite femme que tu t’es fait virer. » Il écrase sa cigarette dans el cendrier, le pauvre homme balbute. « Bien monsieur. » et se retire tandis que Leo s’ébouriffe les cheveux. « Quand tu t’y mets tu es vraiment un tyran Léon. » il n’y qu’une personne qui le nomme de cette manière, l’intéressé sourit. « Ils ont besoin qu’on les secouent ces èches bu***. » dit-il en tournant ses prunelles sur ce vieil ami. C’est en partie grâce à lui qu’il est aussi haut maintenant. « Je n’en suis pas si sûr. » il allume une cigarette, Leo soupire et s’enfonce dans son siège. « C’est un con. » dit-il en haussant les épaules, Leonard respecte les personnes qui le mérite, il s’exprime bien plus poliment. « Ils ont tous peur de toi tu le sais ça ? » Leo rigole, pourtant il ne les a jamais maltraité, pas tous en tous cas. « Que veux-tu ils craignent leur chef. » dit-il en plaisantant, il jette un regard à son camarade qui hausse les épaule. « Tu vas vraiment partir dans ce trou paumé. » Leo se lève, accablé qu’on lui fasse encore la remarque. « Oui! Et je compte sur toi pour tenir les rênes ici. » dit-il en posant sa main sur l’épaule de son ami. « Bien évidemment. » il attrape sa veste, et pose sa main sur la poignée. « Je t’offre un dernier verre avant que tu pleures mon départ ? » les deux hommes s’élancent dans le couloir, si l’homme qui se tiens à la droite de l’eau lui est si fidèle est pour une simple raison que tout le monde sait mais préfère ignorer surtout Léo.

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Bluebell, en 2013
Son regard s’est posé sur cette petite rouquine, ravissante comme Leonard les aime. Il l’a longtemps observé, c’est ainsi qu’il a remarqué la façon dont elle le regardait. Nombreuses femmes le regardaient ainsi , trop nombreuses. Et pourtant cette rouquine, cette gamine-là l’intéressait bien trop. Elle était dans son champ de mire, même si sa conscience lui disait qu’elle était trop jeune, il ne pouvait pas s’empêcher de la charmer, c’est de sa nature. Plusieurs rendez-vous s’ensuivent, des baisers échangés, plusieurs étreintes passionnelles partagées.
Ses doigts effleurent sa peau à moitié nue, les laissent glisser épousant les courbes de son dos, les fines mèches de cheveux y vagabondent aussi; l'admirant, il la sent légèrement frémir, et stoppe alors sa course, laissant retomber son bras sur le matelas. Bien trop tendresse l’envahie, hérité par ce phénomène qui s’abat sur lui il soupire. Et pourtant il ne peut s’empêcher de poser ses prunelles sur elle, les cheveux de la belle retombe sur son visage paisible, ses yeux clos, ses fines lèvres entrouverte, laissant l'espace d'un simple souffle, le pouce du brun vient lui chatouiller les lèvres. Il se sent d'un coup si bien qu'il n'a plus envie de se lever, il ferme alors les yeux pour y retrouver le sommeil et cette atmosphère si paisible. « Leo ? » là voilà donc réveillée, ce doute-t-elle qu'il y a quelques instants il l'admirait ? Non elle croit simplement s'être réveillée sans aucune cause. Cette petite culpabilité que ressent Leonard se dissipe lorsque les lèvres de la belle se posent sur son menton, ouvrant alors un œil quand il la sent se redresser. « Désolée. » dit-elle en se pinçant les lèvres parce qu’elle pensait l’avoir réveillé. Il a un petit sourire, à cette image si parfaite, il lui capture alors la main pour l'emprisonner sous lui. Il vient alors capturer ses lèvres avec fougue, elle tourne légèrement son visage pour ses lèvres se perdent dans son cou. « Arrête. » dit-elle rigolant, elle le stoppe en posant sa main sur ses lèvres, « Je dois y aller. » Il continue légèrement à passer ses mains sous elle pour lui dégrafer son soutien-gorge. « Stoppe » elle se dégage de lui, il se laisse tomber sur le matelas. Il le regarde s’habiller, il sait que s’il insiste elle lui succombera. « Ne me regard pas comme ça ! » il arque un sourcil, et sourit légèrement. « Impossible, une trop belle vue s’offre à moi. » elle finit par venir vers lui pour l’embrasser. « Ou tu vas comme ça ? » elle enfile sa veste, elle le regard sans rien lui dire et se dirige vers le port. Énervé par un tel comportement il se lève et l’attrape par le poignet. « Réponds. » jaloux il l’a toujours été, elle le regard de haute en bas parce que lui n’a pas pris le temps de s’amuser. « Tu devrais t’habiller. » il la colle contre la porte. « Ou tu vas ? » elle soupire en posant ses mains sur son torse. Elle explique qu’elle a des obligations familiales et l’embrase. « Vas t’habiller tu vas attraper froid. » fut les derniers mots de cette jeune fille qui amadoue tellement le français. Il l’aime enfin il n’en n’est pas certain, pourtant il a envie de voir son visage chaque matin, d’entendre sa voix lui susurrer des mots doux, sentir ses doigts dans ses cheveux. Elle n’a que 20 ans, il pourrait être presque son père mais diable dans quel genre de relation se lance-t-il ? Il à même envisagé de lui proposer de venir chez lui, qu’est ce qui lui passe par la tête ?

« Leo ? » une voix française dans son bureau ? Cette voix lui fait lever les yeux et lorsqu’il voit les traits de cette femme, il n’en croit pas ses yeux. Elle la suivit jusqu’à venir à Bluebell. « Qu’est-ce que tu fou ici ? » dit-il à moitié hérité, elle hausse les épaules et sourit. Il avait oublié à quel point elle était splendide. « Leo tu m’as tellement manqué. » il perd son sourire, il ne doit pas se laisser charmer. Il secoue la tête et soupire « Et tu es venu pour me dire ça ? Tu pouvais t’abstenir . » Elle semble blessée et préfère alors s’asseoir sur la chaise en face de lui. « Je ne t’ai pas manqué ? » dit-elle avec l’espoir qu’il lui dise oui, Leo soupire pourquoi a-t-il choisit de coucher avec une femme aussi sensible? Il soupire, agacé de cette situation il se redresse dans son siège. « Non, tu t’attendais à quoi au juste en venant ici ? » elle commence à pleurer, il lève les yeux au ciel il déteste quand elle se la joue mélodrame. Il se sent alors obligé de se lever, et de venir près d’elle en s’appuyant sur son bureau « Tu sais que ce n’est plus de ton âge de pleurer pour ce genre d’histoire. » dit-il en sortant un paquet de mouchoir qu’il tend. « Je sais mais je t’aime. » elle pose ses prunelles dans les siennes, tandis que les traits du français se contractent. Il s’éloigne d’elle et de ses mains trop baladeuses. « Pars, retourne en France. » il parle d’une voix calme, elle s’attendait à ce qu’il s’énerve, lui jette des mots dur à avaler dans pleine face. Elle se lève pour s’approcher de lui, sa main vient se poser sur sa joue. « Tu as une autre femme dans ta vie ? » il s’écarte d’elle énervé. « Ça ne te regarde pas. » il plante ses prunelles dans les siennes, cette réponse veut tout dire. « Pars avant que je perde patience. » elle est blessée, il ne l’a pas choisi elle. « Je ne suis pas seulement venu te dire que je t’aimais. » elle lui tend une photo qu’il attrape, le portrait d’un petit bambin. « C’est ta fille. » il reste sans un mot, lui père ? Impossible, que s’est-il passé ? « Dégage. » elle s’en va alors sans dire un mot de plus, tandis que lui se laisse tomber dans son siège. Il est père ? Encore un évènement qui va troubler son idylle avec Roxanne. Non il ne peut pas lui en parler, pour quel homme le prendra-t-elle. Il s’est toujours montré si parfait devant elle, Roxanne ne sait pas qu’avant il tapait des hommes pour se faire du fric, qu’il volait des voitures pour les revendre, elle ne sait rien de sa vie passée. Il s’allume une cigarette, et ce soir-là il a préféré aller se souler chez lui que de passer du bon temps avec sa rousse préféré. « Tu t’es encore battu ? » articule sa secrétaire en voyant l’état de sa main droit et surtout de son œil au beurre noir. « On dirait bien oui. » dit-il en lissant ce qu’elle venait de lui apporter. « Tu veux encore faire les gros titres des magasines people ? » il sourit, et hausse les épaules. « J’adore voir ma tête en première page. » ils rient tous les deux, et elle ferme la porte. C’est bien l’une des seules qui hausse rire avec lui. Sans doute parce qu’elle le connait depuis quelques années, il a préféré s’assurer de garder une personne sure et la trimballer avec elle. Oh non elle ne l’aime pas, il n’est pas son genre, aucun ne l’est.

« Qu’est-ce qu’il y a ? » elle lui tourne le dos, ce n’est pas le moment qu’elle agisse ainsi face à lui. Il soupire et s’écarte d’elle, il n’a pas la patiente d’articuler des mots pour la rassurer, la faire céder. Il sait très bien ce qu’elle lui reproche. Il enfile sa veste nerveusement, elle se retourne en entendant le bruit des clefs quittées le petit meuble. « Je sors. » dit-il froidement, elle sait où est le double pour qu’elle ferme les lieux. Elle semble le supplier du regard mais ne s’approche pas de lui, ses traits se contractent. Il ouvre la porte en grands « Vas rejoindre ta petite famille et tes gamineries. » enfin de compte il était en train de la mettre dehors, non ce n’était pas la première fois qu’ils se prenaient la tête. Cependant Leo se montrait bien moins patient qu’avant, il s’énervait bien vite par le simple fait qu’elle insiste sur qui était cette femme. Ne lui faisait elle pas confiance ? « Allé sort. » un geste de tête pour lui indiquer la sortie et ce n’était pas la première fois qui la foutait dehors. Elle se poste devant lui, elle plante ses prunelles dans les siennes, ses mains viennent encadrer son visage et elle l’embrasse. Il la repousse, c’était si rare mais à cet instant Leonard était de cette humeur massacrante. Elle sait tout aussi bien que lui quand c’est ainsi c’est soit le plaisir charnel qui le calme ou l’alcool. « Roxanne. » dit-il simplement en perdant patiente, elle est énervée et s’en vas en le poussant. Il s’en veut d’agir ainsi avec elle, surtout qu’il vient de lui demander si elle veut vivre avec lui. Il finit toujours par se faire pardonner, par ses attitudes de gentleman qui sont parfois si détestable car il est difficile de lui en vouloir longtemps. Surtout quand la personne l’aime. « On se voit ce soir?. » lui susurre-t-il à l’oreille discrètement lorsqu’il la croiser dans un couloir.




pseudo/prénom :macaron. avatar : norman sexy reedus. fréquence de connexion : 3 à 5/7 vacances ou non scénario ou inventé : scénario de la plus belle des brunes: roxane vos impressions sur le forum : je l'aime sinon je ne serais pas venu. où l'avez-vous connu : grâce à ma licorne. code du règlement : validé par dallas




Dernière édition par Leonard Deperfitte le Dim 31 Mar - 13:41, édité 17 fois
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Roxanne Ainsworth

Roxanne Ainsworth


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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptySam 30 Mar - 18:30

il a tellement la classe en chemise le reedus (+) You can't always get what you want 4205929361 (+) You can't always get what you want 4205929361 (+) You can't always get what you want 4205929361 (+) You can't always get what you want 4205929361 excellent choix évidemment, je suis en train de m'extasier devant sa tronche (+) You can't always get what you want 2326349265 (+) You can't always get what you want 2326349265 bienvenue officiellement ceci dit, j'ai vraiment hâte de lire ta fiche (+) You can't always get what you want 1477098653 (+) You can't always get what you want 1617085225 tu gères (+) You can't always get what you want 3406960028
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Jules Ainsworth

Jules Ainsworth


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ALWAYS AND NEVER ALONE
ADRESSE : Woodrow Boulevard
EMPLOI : Libraire
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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptySam 30 Mar - 18:55

Alors c'est TOI que je vais devoir tuer (+) You can't always get what you want 337664734 (+) You can't always get what you want 337664734 (+) You can't always get what you want 337664734 d'accord d'accord (+) You can't always get what you want 144112297 (+) You can't always get what you want 144112297

WELCOME (+) You can't always get what you want 494518552 (+) You can't always get what you want 494518552
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Ivy Lewis

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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptySam 30 Mar - 18:59

Bienvenue :D
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Leonard Deperfitte

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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptySam 30 Mar - 19:09

Et oui, c'est fou (a) ahaha merci sweetie, n'oublie que tu me dois encore des récompenses, une liste ne suffit pas (+) You can't always get what you want 4153354820

En effet c'est moi, et dire que je vais devoir me battre contre iron man ou sherlock holmes...Arrow ok blague pourri je m'en vais (a) merci même si je sens que c'est un bienvenue machiavélique!!

Merci Ivy (+) You can't always get what you want 1911817067
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Dallas V. Chamberlain

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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptySam 30 Mar - 19:30

Mouhaha, je suis une inculte, je connais pas Reedus. *camion*

Mais bienvenue sur Suspicious Minds beau gosse :D
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Neeloée O. Rhodes

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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptySam 30 Mar - 19:48

BORDEL REEDUS (+) You can't always get what you want 3188653342 Très très bon choix !
Bienvenue parmi nous (+) You can't always get what you want 1951224164
Reserve moi un méga lien !
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G. Skye Rosebery

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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptySam 30 Mar - 22:42

Ah voilà le chérie de ma meilleure amie mdr
A chaque fois que je regarde Walking dead, je tombe sous le charme.
Bienvenue sur le forum & réserve moi un lien (+) You can't always get what you want 1617085225
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Leonard Deperfitte

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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptySam 30 Mar - 23:45

Dallas, ne t'en fais pas je vais te le faire aimer (a) tu ne regarde the walking dead?
Nee, je sais je sais (a) merci ne t'en fais pas je te réserve un beau lien (+) You can't always get what you want 4153354820
Skye, merci belle petite rousse, oui je dois avoeur que Norman est handsome dans TWD (a) bien sur étant la meilleure amie de Roxy, faut bien qu'on se connaisse (+) You can't always get what you want 4153354820
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Roxanne Ainsworth

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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptyDim 31 Mar - 0:12

j'adore, j'adhere!
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Dallas V. Chamberlain

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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptyDim 31 Mar - 8:07

Oh, j'aime ton histoire, c'est vraiment émouvant et très triste (+) You can't always get what you want 3246746551 !

En tout cas, j'ai validé ton mot de passe, et je te valide :D Tu as à présent accès à l'ensemble du forum ! I love you
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Ivannah M. Livinston

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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want EmptyDim 31 Mar - 17:55

Excellent choix de vava (a)
bienvenue :D
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MessageSujet: Re: (+) You can't always get what you want   (+) You can't always get what you want Empty

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